Mes études m’ont menée à l’obtention d’un Master 2 dans la gestion des risques industriels, naturels et technologiques. J’ai toujours aimé les questions de sécurité.
J’ai donc débuté ma carrière au ministère de l'Intérieur. Là-bas, j'étais responsable du pôle risques naturels au niveau national pour l'organisation des secours en cas d'inondation, et je travaillais aussi au service attentat.
Au bout de deux ans, j’avais besoin de revenir dans ma région, l’Auvergne, et c’est ce retour qui m’a poussée à changer de voie.

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Oui, je suis sapeur-pompier volontaire depuis mon plus jeune âge. L’un des avantages de mon travail chez Constellium, c’est que je peux continuer mon métier de sapeur-pompier en parallèle de mon métier d'ingénieur. Et je peux ainsi enrichir mon travail de mes compétences acquises en tant que pompier. Ainsi, j’ai pu passer la formation de secouriste au travail et ceci me permet d'intervenir en cas de problème au sein de l'atelier.

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Non, j’ai commencé par un poste dans une entreprise de commercialisation de livres. Je voulais acquérir une première expérience de manager. C’est après cette expérience que j’ai rejoint Constellium en tant que responsable environnement, santé, sécurité et énergie. C’était important pour moi de rester dans la sécurité. Ça me plait beaucoup. Ce métier me rapproche de mes valeurs personnelles.

Je pense que la différence se joue dans la communication. J'ai déjà interrogé les hommes au sein de l’atelier et ils apprécient beaucoup de travailler avec des femmes. Ça apporte un peu de douceur apparemment. Chez Constellium, il n'existe pas de différences entre les genres. Cet état d’esprit permet d'intégrer facilement les femmes.

Oui, c’est une constante depuis le début. Je n’ai jamais comparé public-privé. J’ai toujours fait en fonction de ce que je voulais faire.  Ce qui était important pour moi, c’était de rester dans la sécurité. La seule différence avec mon premier boulot, c’est qu’à Paris, ça manquait un peu de verdure (sourire).